Imprimer Revue EP&S n°69 - MARS 1964

LE HANDBALL A SEPT, JEU SCOLAIRE Initiation, perfectionnement, entraînement

  • Propos recueillis par Nicole Darrigrand-Pellissard, JEAN PINTURAULT PROFESSEURS A L'E.N.S.E.P.
  • Code : 70069-83

« Le professeur d'Education physique n'est pas dans un établissement scolaire pour former des spécialistes, mais pour utiliser les diverses spécialités, en les adaptant au besoin, pour contribuer à une meilleure et plus complète formation des élèves qui lui sont confiés » (Gratereau : « Initiation aux sports collectifs »).

En l'occurrence, le Hand-Ball à 7 s'inscrit dans l'ensemble des techniques éducatives permettant le développement des capacités physiques des jeunes scolaires qui nous sont confiés de l'enfance à l'âge adulte. Notre méthode de travail, notre enseignement lieront constamment et obligatoirement :
• TECHNIQUE, vue dans le sens large du terme, c'est-à-dire l'ensemble des connaissances mises au service du mouvement humain, ceci sur le plan athlétique des courses, des sauts, des lancers ; sur le plan des gestes de réception, de passes, de tirs, de dribbles, en fonction non seulement du ballon, mais aussi des partenaires et des adversaires (action individuelle et action collective).
• PEDAGOGIE, « science et art de l'éducation », fondée sur l'ensemble des connaissances du mécanisme de l'apprentissage des mouvements, sur la connaissance des besoins de l'enfant à chaque âge, suivant ses caractères anatomiques, physiologiques, morphologiques, fonctionnels, psychologiques, sociaux, toutes connaissances ne pouvant s'acquérir que par une formation spécialisée et une longue expérience en Education Physique en général, en hand-ball en particulier, au contact de l'enfant, de l'adolescent et de l'adulte.
 
Volontairement, tout en suivant avec un intérêt profond les recherches portant sur une Education Physique scientifique, recherches qui devraient grouper nécessairement ceux qui sont considérés comme des hommes de science (anatomistes, physiologistes, psycho-techniciens, psycho-pédagogues, bio-mécaniciens...) et les hommes de terrain, nous nous situerons sur l'aire de jeu de hand-ball, en éducateur toujours « sur la brèche », avec l'expérience de plus de quinze années acquises sur des collectivités de jeunes scolaires, des groupes d'étudiants, des joueurs d'équipes civiles de classe régionale, nationale, internationale, avec l'expérience tangible de nombreuses heures passées à vivre « totalement » parmi le groupe social que constitue une ou plusieurs équipes, ceci à longueur d'années, à longueur de stages, courts ou longs, à longueur de séances d'entraînements préparant des rencontres scolaires, nationales ou mondiales.

La connaissance du « milieu hand-ball », l'ambiance propre à notre sport, une tranche de vie consacrée à son étude, ne nous font pas perdre de vue ces quelques points essentiels :
• le hand-ball ou tout autre sport collectif, s'il peut constituer une « fin » pour l'enfant, ne constitue qu'un moyen pour l'enseignant, parmi les autres moyens de l'Education Physique moderne, tant sur le plan de la motricité que sur le plan des loisirs et de l'éducation sociale.
• « Il n'existe aucune frontière étanche entre les évolutions physique, psychologique et sociale de l'être humain. Les activités physiques représentent un moyen d'éducation complet puisque leurs effets intéressent simultanément tous les niveaux de la personnalité.
A la continuité des phénomènes de croissance doit répondre, dans le temps, une progression en qualité comme en quantité des activités physiques. »
Notre apprentissage, nos moyens proposés, notre pédagogie générale ou appliquée ne constituent que des exemples (tous vécus), des suggestions, laissant toute liberté, toute initiative à chaque professeur, soucieux de perfectionner et ses connaissances et son enseignement. « Qui a cessé d'apprendre doit cesser d'enseigner ». (Gratereau : « Initiation aux sports collectifs »).

ORGANISATION DU TRAVAIL

Le matériel
Terrains de hand-ball réglementaires (dimensions scolaires : 30 à 40 m de long, 15 à 20 m de large). Deux terrains côte à côte sont souhaitables pour parvenir à faire évoluer jusqu'à 44 élèves (4 équipes de 11 joueurs) (fig. 1).


• Nombre suffisant de ballons (idéal : 1 ballon pour 2 ou 3, en observant les dimensions proposées par la F.F.H.B. suivant les catégories : 54 à 56 cm pour les jeunes).
• Distinction très nette des joueurs (maillots, plastrons, bandes de jeu).
• tableau, films, visions de matches scolaires, civils, internationaux - fiches d'observation.

DIRECTIVES PÉDAGOGIQUES

Constitution d'équipes stables formées soit par le professeur à l'aide des épreuves traditionnelles (performances en courses, sauts, lancers, grimper) ou du parcours du jeune hand-balleur ou d'une réception en course d'un ballon de hand-ball suivie d'une descente en dribble conclue par un shot.
Soit par le professeur avec l'aide des élèves se choisissant mutuellement, désirant jouer ensemble, et, par suite, garantissant au départ une certaine cohésion à l'équipe.
Quatre équipes (A, B, C, D) peuvent être ainsi formées, au départ de valeur homogène ou deux équipes A et B avec chacune une réserve A2 et B2.

Les séances
Nous employons volontiers le terme séance, les élèves, les capitaines, le collectif étant constamment sollicités mentalement et physiquement, par opposition au terme leçon, dirigée par un maître, et certaines subies passivement par les élèves. Le nombre des séances dépendra de l'importance attribuée à un cycle consacré au hand-ball : par exemple, le premier trimestre de chaque année scolaire, au cours de chaque séance de sports (soit 10 à 12 séances de 1 h à 1 h 30).

Moyens utilisés
Notre moyen fondamental demeure le jeu : les enfants apprennent à jouer... en jouant. Trois gradations dans notre conception du jeu : le jeu libre où l'éducateur s'efforce uniquement de donner les règles essentielles, le jeu dirigé (voir Imberty : Education physique et Sport n° 52) où l'éducateur oriente, rythme les actions individuelles et les actions collectives, montre, démontre ce qu'il faut faire en tenant le rôle d'un véritable capitaine d'équipe, enfin le jeu construit, conditionné où il s'agit d'observer des dispositifs de défense, d'attaque, d'imposer des constructions, des combinaisons de jeu, un système auquel l'adversaire devra répondre, s'adapter.
Il nous apparaît difficile de fournir un dosage quantitatif de ces trois procédés. Chacun d'eux correspondra au niveau de jeu pratiqué, aux réactions des joueurs, à leurs besoins, à leurs progrès. De même que nous alternerons ces trois formes de conception de jeu, nous alternerons les séances d'initiation, d'entraînement et les séances de matches, chaque séance s'interpénétrant sans cesse, l'initiation, l'entraînement préparant le match et l'observation du match, ainsi que son résultat, préparant l'entraînement.

Procédés pédagogiques
Nous n'ignorons pas la distinction entre procédés d'initiation (fig. 2)

et procédés d'entraînement, les premiers (passes en ligne, en colonne, en triangle, en étoile, en angle droit) s'adressant aux débutants dont tous les gestes sont à purifier, procédés réalisés avec le ballon, souvent sans adversaires, souvent sans aucune opposition, sans préoccupation tactique, les seconds (fig. 3)
(utilisant les couples joueur-adversaire, 2 contre 1, 2 contre 2, 3 contre 2, 3 contre 3, 6 contre 6) s'adressant à des sujets débrouillés dont les gestes s'orientent vers la bonne technique et dans la forme et dans le rythme, procédés réalisés qualitativement, quantitativement, dans des conditions les plus proches du jeu réel, avec des objectifs techniques, tactiques, en fonction de futurs adversaires.
De même qu'il n'existe pas de progressions types, d'entraînements types, ici nous pouvons dire que les procédés d'initiation, en fait utilisables constamment en Education Physique, domineront surtout dans le début de notre étude alors que les procédés d'entraînement interviendront surtout au stade du perfectionnement.

CONTENU DES SÉANCES

EXEMPLE 1
Jeu libre : A1 contre B1 - A2 contre B2

Deux objectifs :
1) notions fondamentales du règlement :
-l'engagement : les ailiers ne doivent franchir la ligne médiane que lorsque la balle a quitté les mains de l'avant-centre ;
-ne pas conserver la balle plus de 3" en main (compter 1001, 1002, 1003 puis siffler) ;
-ne pas effectuer plus de trois contacts au sol : gauche - droit - gauche puis passe ou tir, main droite ;
-attention aux accrochages : jet franc (adversaires à 3 m), un pied permanent au sol. Aucun attaquant entre 6 m et 9 m, pénalty lorsque l'attaquant est en position de tir ;
-la zone des 6 m appartient au gardien. On peut partir en suspension au-dessus de la zone, déclencher son tir et retomber ensuite dans la zone ;
-la touche à deux mains, écart antéro-postérieur des pieds.
2) Observation des jeunes de 6e (10, 11, 12 ans) : maximum d'effort, minimum de rendement : les jeunes courent beaucoup, en ordre dispersé, sans aucune notion d'occupation du terrain, de placement offensif, de repli défensif, n'ont pas de notion d'appui au sol pour passer, tirer, perdent constamment le ballon, bien que le désirant ardemment et s'agglutinant autour.
EXEMPLE 2 :
Essai d'organisation avec alternance de jeu libre et de jeu dirigé

La balle est perdue : tous les joueurs se replient en défense, avec des exemples de dispositifs qui seront clarifiés au cours des séances suivantes, en fonction du système défensif adopté, des qualités ou défauts de ses joueurs, des qualités ou défauts des adversaires : 0-6 ; 1-5 ; 2-4 ; 3-3 ; agressivité sur l'attaquant porteur du ballon ; position d'interception ; homme à homme dans sa zone de défense ; pressing sur tout le terrain.
La balle est à soi : les trois joueurs de la ligne arrière (1/2 centre et arrières) la montent, sans dribble ; les trois joueurs de la ligne avant (avant-centre et ailiers) vont se placer en zone d'attaque : exemple : l'ailier gauche sur sa position gauche, l'ailier droit sur sa position droite, l'avant-centre sur le début de l'arrondi (droit ou gauche) de la zone des 6 m.
EXEMPLE 3
Alternance de jeu libre, de jeu dirigé, de jeu conditionné

On sait revenir en défense : notion de défense groupée, collective, à longueur de bras tendu entre chaque élément. On apprend les positions de base (1/2 flexion sur ses appuis), le flottement latéral côté ballon en déplaçant l'appui du côté où on veut aller, sans croiser ses jambes, le mouvement en tiroir sur l'attaquant porteur du ballon ainsi que le retour aux 6 m lorsque ce porteur de balle transmet à un autre attaquant et ne se trouve plus en position de tir (déplacement des pieds antéro-postérieur, pied avant vers l'avant pour monter, pied arrière vers l'arrière pour reculer, constamment équilibré sur ses plantes de pied).
On sait monter en attaque : notion d'attaque écartée, se développant sur un large front, notion d'attaque préparée, construite, placée, articulée. Se préoccuper de transmettre la balle d'une aile à l'autre, en la faisant toucher par chaque élément (ailier gauche, arrière gauche, demi-centre, arrière droit, ailier droit, avant-centre), soit en respectant strictement chaque intermédiaire (chez les débutants), soit en sautant des intervalles (exemple: ailier gauche, demi-centre, ailier droit, arrière gauche ou inversement).
La contre-attaque sur interception (mauvaise passe, mauvaise réception), obtenue par une grande agressivité sur le porteur du ballon, autorise l'apprentissage du dribble, buste penché sur l'avant, course sur la plante des pieds, balle conduite sur le côté et poussée avec le bout des doigts, mains souples. Initiation : lorsqu'on apprend à dribbler, on fait rebondir le ballon en se déplaçant lentement, en gardant les yeux sur lui, tant que n'est pas acquis un bon contrôle de celui-ci. Perfectionnement : quand la maîtrise de la balle devient meilleure, se déplacer en dribbles plus rapides et s'entraîner à contrôler la balle rien qu'au toucher, en levant les yeux devant soi ou sur les côtés. Apprendre à dribbler de chaque main (fig. 4).


Dans cette période donc, alternance du jeu libre, du jeu dirigé avec ces directives, du jeu conditionné en exigeant une 0-6 uniquement flottante, une 1-5 avec un avant-centre avancé et responsable d'un joueur déterminé, en exigeant un placement offensif avec un avant-centre placé entre un ailier et un arrière adverse.
EXEMPLE 4
Les entraînements et les matches qui se succèdent au cours de ces séances ont montré de nombreux défauts tant individuels que collectifs auxquels il va falloir remédier. Par exemple, les responsables d'équipe notent de trop nombreuses mauvaises passes. Cet élément va être étudié, d'abord à vide (lignes face à face, à quelques mètres de distance : passes à deux mains, écarts antéro-postérieur des segments inférieurs, fouetté des poignets et des doigts en insistant sur la réception, doigts écartés, poignets, avant-bras, bras amortisseurs. Réussir le plus grand nombre de passes en 30", en 1'. Puis, augmenter la distance entre les lignes et étudier la passe à une main, avec fouetté du poignet, armé minimum du bras, appuis inférieurs gauche, droit, gauche pour passer main droite), puis avec adversaires souples, puis en condition de jeu (fig. 5).

La qualité des passes s'améliore et en position d'attaque, une équipe, en articulant bien ses éléments (fig. 6)
va faire circuler longuement cette balle avec une défense d'abord souple, puis plus agressive (dans le sens latéral, dans le sens antéro-postérieur). Etudier le jeu de jambes de l'attaquant, sur les plantes de pied, segments inférieurs demi-fléchis, prêt à démarrer en avant, en arrière, à gauche, à droite. Compter le nombre de passes en circulation d'attaque, chaque attaquant mobile sur ses plantes et évoluant dans son secteur d'attaque (fig. 7).

EXEMPLE 5
Les entraînements succèdent aux matches et inversement.
La défense se précise en fonction d'une balle (flottement) et d'un adversaire (notion de responsabilité individuelle au sein du « collectif ». Les capitaines d'équipe appliquent les notions de 0-6, de 1-5.
L'attaque évolue: aux notions de circulation de balle rapide, avec évolution réduite dans son secteur, s'ajoutent les notions de fixations : chaque attaquant regardant le but, s'efforce de se montrer dangereux par ses possibilités de tir, de feintes, de passes : il tire au but si aucun défenseur ne monte sur lui et passe, au cas où il est pris en charge.
Cette notion de fixation sur son adversaire direct ou sur l'adversaire d'un partenaire pour libérer momentanément celui-ci appelle la notion de soutien : l'articulation parfaite des attaquants, élément capital de tout jeu construit, permet ce soutien. Un arrière s'engage en fixation : son demi-centre et son ailier doivent le soutenir. Un demi-centre s'engage en fixation : ses deux arrières doivent le soutenir. Un joueur soutient son partenaire lorsqu'il lui offre une possibilité de passe en retrait (fig. 8).

Pour accentuer les possibilités de fixation, apprentissage des tirs à mi-distance : par ateliers : le tir en suspension de la gauche vers la droite pour un droitier (inversement pour un gaucher).
Le tir en gauche, droit, gauche, puis en droit, gauche, puis sans armé, en recherchant la soudaineté : de l'épaule, de la hanche, du genou (tir bas).
Le tir en désaxé (demi-désaxé et désaxé complet).
Tous ces tirs se travaillent sans opposant, puis avec défenseur souple, défenseur qui monte sur le tir, défenseur agressif (fig. 9).

EXEMPLE 6
-Le collectif augmente sa cohésion. Les rouages fonctionnent de mieux en mieux.
La défense doit faire face aux problèmes posés par des tireurs à mi-distance et la montée en tiroir devient effective, plus ou moins prononcée suivant les forces en présence. Cette montée sera surtout effectuée par les arrières droit ou gauche, ainsi que par l'avant-centre.
L'attaque, aux passes améliorées (voir, en fonction du tir en suspension, la passe en crochet, d'un arrière sur un avant-centre aux 6 m, passe effectuée à l'endroit où ira cet avant-centre), aux tirs de loin plus ou moins efficaces, sachant fixer l'adversaire, soutenir le partenaire, occuper largement le terrain, peut s'orienter vers le mouvement : jeu conditionné : courir en oblique, croiser ses courses, permuter avec ses partenaires, aiguiller son adversaire direct vers l'adversaire de son partenaire pour libérer un court instant ce partenaire : un demi-centre permute avec son arrière, un avant-centre avec son ailier.
Ces notions de mouvement doivent être bien mises au point, afin de respecter toujours une occupation rationnelle du terrain, sans provoquer de concentration dans les secteurs d'efficacité, le centre surtout (fig. 10).

EXEMPLE 7
-Et ainsi de suite...
-Contre-attaque : 2 contre 1, 3 contre 2 ;
-défense : notions de glissement, de changement, le contre ;
-attaque : les tirs des angles, fixation - soutien - permutations - blocages - rotation, combinaisons en jeu, sur coups francs.
-Les différentes formes défensives les dispositifs d'attaque - mouvements généraux (huit à 3, à 4, à 5) - tirs aux 6 m.

CONCLUSION

Volontairement, nous avons limité notre étude aux premières séances d'initiation et de perfectionnement, la suite ayant fait l'objet d'articles techniques appliqués au jeu civil, national et international (articles de Lacoux : revue E.P.S. nos 57 et 58), se situant plus sur le plan des motivations d'athlètes de compétition dont les résultats sont les buts, que sur les besoins réels de l'enfant et de l'adolescent qui, très fréquemment, nous dictent ou tout au moins nous guident dans nos progressions, nos soucis éducatifs. Notre préoccupation majeure, tout au long de cet article, s'est fondée sur les désirs qu'ont nos collègues d'incorporer un sport d'équipe, exemple : le hand-ball, dans « l'éventail » des activités physiques proposées par les instructions officielles, en leur suggérant quelques éléments de travail qui, nous l'espérons, pourront leur rendre service.

Notes :

Photo : Archives Secrétariat d'Etat Jeunesse et Sports.

REFERENCES

Le hand-ball à 7 : R. RICARD et J. PINTURAULT (Bornemann, 1963).
Le gardien de but : J. FERIGNAC (Revue E.P.S. n° 50 et 60).
Evolution, jeu scolaire : S. GELE (Revue E.P.S. n° 62 et 63).
La France aux championnats du monde : J.P. LACOUX (Revue E.P.S. n° 57 et 58).
Les fiches d'observation : J.P. LACOUX (Revue E.P.S. n° 48. 49, 51).
L'entraînement d'une équipe junior : F. ZAEGEL (Revue E.P.S. n° 68).

L'auteur : Propos recueillis par Nicole Darrigrand-Pellissard

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L'auteur : JEAN PINTURAULT PROFESSEURS A L'E.N.S.E.P.

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