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Dans la lignée des Dossier EPS n°78 (l'élève débutant) et Dossier EPS n°81 (l'élève débrouillé),ce nouvel ouvrage coordonné par Maxime Travert, Nicolas Mascret et Olivier Rey traite cette fois-ci de l'enseignement de l'EPS au lycée.
En fin d'études secondaires, l’enseignant d’EPS est fréquemment confronté à des élèves ayant vécu une ou plusieurs séquences d’apprentissage dans les différents activités physiques sportives et artistiques (APSA).
Dès lors comment envisager cette rencontre singulière ? Comment fixer des objectifs réalistes ? Quelles situations mettre en place pour faire progresser les élèves ? Comment apprécier leurs progrès ?
Et comment envisager l’épreuve du baccalauréat ? Les réponses à ces questions sont déclinées à travers 23 APSA parmi les plus enseignées au lycée, en mettant en avant la construction
de « choix éclairés ».
Un cadre identique est proposé pour chaque APSA :
• Un bilan des acquis du cycle 4 du collège.
• Une situation initiale permettant d’observer les élèves
et d’identifier des profils types.
• Les apprentissages prioritaires pour atteindre les attendus
de fin de lycée.
• Les obstacles à surmonter et les ressources sollicitées
pour s’approprier ces compétences.
• Des contenus d’enseignement réalistes et adaptés.
• Des situations d’apprentissage permettant aux élèves
de se transformer.
• Des indicateurs de progrès et de fin d’étape.
• Un outil d’évaluation en relation avec l’épreuve d’EPS
du baccalauréat.
• Des repères pour apprendre à s’entraîner.
Des solutions concrètes et opérationnelles pour tous les intervenants confrontés à la question des besoins éducatifs particuliers et de l'activité motrice, notamment lorsqu'ils accueillent un jeune en situation de handicap au sein d'un groupe de pratiquants dits valides.
Les jeux traités dans ce volume sont : les déménageurs, la balle aux prisonniers, la passe à 5, le jeu sans ballon, la thèque, Kin-ball, ultimate, basket-ball.
J'achète à 18.00 €L'idée d'un jeu de volley-ball à effectifs réduits chez les jeunes a déjà 25 ans. Elle a été âprement combattue mais il nous a semblé important d'en débattre en tenant compte de l'avancée des connaissances en matière de pédagogie, psychologie et spécificité de l'activité
Apparemment anodine, la passe est la condition sine qua non pour construire le jeu. En effet, elle conditionne, en partie, la réussite ou non du futur porteur de balle, décideur du jeu.
À partir de trois exemples pris dans le jeu de haut niveau, l'auteur établit la problématique des enchaînements et donne les principes de la réussite.
Il ne f a u t pas confondre EPS et sport. L'école n'est pas là pour former des champions, même si e l l e y contribue. Elle se doit de proposer aux élèves des APS qui ont un sens pour eux. L'auteur prend ici le football comme support d'enseignement.
Sauf exception, la considération accordée au gardien de but est bien faible. En effet, il est rare que les enseignants prennent en compte ses actions lors des séances d'évaluation. Par ailleurs, considérer le gardien de but comme un joueur à part, est certainement dû à une vision trop restrictive du jeu à ce poste.
Dans les années 90, la situation fédérale a conduit à une réflexion portant sur l'adaptation de l'encadrement à la demande de pratiquants. À cette époque la professionnalisation des cadres n'était pas courante. En effet, la structuration des clubs ne le permettait pas. Une hypothèse est alors formulée selon laquelle, les moyens financiers générés par l'activité volley-ball doivent permettre la création d'emplois.
Comment aborder l'activité avec des débutants, par quelle démarche ? Quelles règles essentielles privilégier ?
À partir d'une expérience pratique d'enseignement et de formation, et sur la base de propositions effectuées dans le cadre des travaux nationaux sur l'évaluation et les programmes, les auteurs présentent quelques principes autour des notions de conduites typiques, d'obstacles et de cursus.
En septembre 1993, dans la Revue EP.S n° 243 (1), G. Bosc insistait sur la nécessité de se détacher du modèle associationniste débouchant souvent sur une manière de jouer stéréotypée laissant peu de place à la créativité. L'option retenue à l'époque a suscité quelques polémiques parce que le modèle américain conventionnel très prisé y est battu en brèche, mais aussi parce qu'elle perturbe les habitudes et contraint les entraîneurs à modifier leur approche pédagogique. Qu'en est-il ?
Le jeu en profondeur constitue un principe essentiel de déséquilibre de l'adversaire. Il est lié à la possibilité de faire rouler le ballon.
* 7 € TTC pour la France métropolitaine (plafond selon zone géographique : CEE : 19 € TTC; DOM : 19 € HT; COM et étranger : 28.50 € HT). Valable jusqu'au 31/08/23
* 7 € TTC pour la France métropolitaine (plafond selon zone géographique : CEE : 19 € TTC; DOM : 19 € HT; COM et étranger : 28.50 € HT). Valable jusqu'au 31/08/22