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Après l’approbation en procédure accélérée par le Sénat, en séance du 16/02, du projet de loi précédemment adopté par l’Assemblée nationale, la France échappe aux menaces d’exclusions internationales…
L’objet de cette nouvelle loi était principalement de se mettre en conformité avec le Code mondial antidopage en séparant effectivement les missions de l’AFLD de celles du laboratoire national de contrôle :
• d’une part, l’Agence autorité publique indépendante, chargée de l’application et de la diffusion des réglementations antidopage qui doivent protéger la pratique du sport (organisateurs, sportifs, amateurs ou professionnels, de toutes les disciplines), issues du Code mondial édicté par l’AMA ;
• d’autre part, le laboratoire de contrôle qui intègrera en 2022 l’université de Paris Saclay-faculté de pharmacie.
Lors de la séance au Sénat, la ministre des sports a indiqué que la France contribuerait pour 1 M€ au fonctionnement de l’AMA et 11 M€ pour l’AFLD. L’objectif est de porter le nombre de contrôles de 7000 en 2020 à 10000 en 2021. Concernant le transfert du laboratoire de Chatenay-Malabry, elle a confirmé que le ministère des Sports financerait via un apport à l’université le déménagement et le budget nécessaire aux analyses et au matériel. Un des enjeux est que ce laboratoire soit reconnu par World rugby pour la Mondial 2023 et par le CIO et l’IPC pour les Jeux de 2024.
Le comtpe-rendu du vote au Sénat est ici.
La stratégie française de lutte contre le dopage est là.
Le site de l’AFLD.
Et dans la Revue EP&S : Prévenir le dopage, un enjeu éducatif.