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« Une piste pour transformer les pratiques éducatives ? », séminaire coordonné par Pascale Haag (EHESS) et Amélia Legavre (CRI/Sciences Po).
Le concept d’« organisation apprenante » se définit comme « une organisation capable de créer, acquérir et transférer de la connaissance et de modifier son comportement pour refléter de nouvelles connaissances » (Garvin, 1993).
Alors que le réseau canadien Rescol a entamé une réflexion sur l’application de ce concept à l’environnement scolaire dès 1996, ce n’est qu’à partir de 2007 que des chercheurs se sont réellement attachés à en préciser les contours et à développer des instruments d’évaluation (Bowen, Ware, Rose et Powers, 2007). Une brochure publiée en 2016 par l’OCDE a permis de mieux faire comprendre ce qui fait d’une école une organisation apprenante : il s’agit notamment de développer une culture commune qui repose sur le travail collaboratif, la confiance, et aussi, bien souvent, le recours aux technologies afin de répondre aux défis posés par un environnement en perpétuelle évolution.
En France l’adoption du concept est très récente. François Taddei et ses collègues (Taddei, Becchetti-Bizot, Houzel, 2017 ; Taddei, 2018) proposent de l’appliquer à l’échelle de la société dans son ensemble, plaidant pour la création d’un « service public de la société apprenante » destiné à permettre à tous d’intensifier la recherche, à faciliter l’accès à la formation, aux expériences et aux résultats, et à impliquer le plus grand nombre dans la conduite de projets innovants. Dans le contexte scolaire français, plusieurs projets destinés à transformer des écoles, des circonscriptions ou même des académies en « territoire apprenants » ont vu le jour au cours des dernières années (par exemple, à Dijon, Grenoble, Rouen et Paris). Ce séminaire cherche à mieux cerner les enjeux et les défis liés à la notion de « territoire apprenant » à partir de l'analyse d'expériences de terrains, en France et à l'étranger.
Le 2e samedi du mois de 9h à 12h.
« Une piste pour transformer les pratiques éducatives ? », séminaire coordonné par Pascale Haag (EHESS) et Amélia Legavre (CRI/Sciences Po).
Le concept d’« organisation apprenante » se définit comme « une organisation capable de créer, acquérir et transférer de la connaissance et de modifier son comportement pour refléter de nouvelles connaissances » (Garvin, 1993).
Alors que le réseau canadien Rescol a entamé une réflexion sur l’application de ce concept à l’environnement scolaire dès 1996, ce n’est qu’à partir de 2007 que des chercheurs se sont réellement attachés à en préciser les contours et à développer des instruments d’évaluation (Bowen, Ware, Rose et Powers, 2007). Une brochure publiée en 2016 par l’OCDE a permis de mieux faire comprendre ce qui fait d’une école une organisation apprenante : il s’agit notamment de développer une culture commune qui repose sur le travail collaboratif, la confiance, et aussi, bien souvent, le recours aux technologies afin de répondre aux défis posés par un environnement en perpétuelle évolution.
En France l’adoption du concept est très récente. François Taddei et ses collègues (Taddei, Becchetti-Bizot, Houzel, 2017 ; Taddei, 2018) proposent de l’appliquer à l’échelle de la société dans son ensemble, plaidant pour la création d’un « service public de la société apprenante » destiné à permettre à tous d’intensifier la recherche, à faciliter l’accès à la formation, aux expériences et aux résultats, et à impliquer le plus grand nombre dans la conduite de projets innovants. Dans le contexte scolaire français, plusieurs projets destinés à transformer des écoles, des circonscriptions ou même des académies en « territoire apprenants » ont vu le jour au cours des dernières années (par exemple, à Dijon, Grenoble, Rouen et Paris). Ce séminaire cherche à mieux cerner les enjeux et les défis liés à la notion de « territoire apprenant » à partir de l'analyse d'expériences de terrains, en France et à l'étranger.
Le 2e samedi du mois de 9h à 12h.
10 Novembre 2018 - 08 Juin 2019
Séminaire EHESS (Paris)
« Une piste pour transformer les pratiques éducatives ? », séminaire coordonné par Pascale Haag (EHESS) et Amélia Legavre (CRI/Sciences Po).
Le concept d’« organisation apprenante » se définit comme « une organisation capable de créer, acquérir et transférer de la connaissance et de modifier son comportement pour refléter de nouvelles connaissances » (Garvin, 1993).
Alors que le réseau canadien Rescol a entamé une réflexion sur l’application de ce concept à l’environnement scolaire dès 1996, ce n’est qu’à partir de 2007 que des chercheurs se sont réellement attachés à en préciser les contours et à développer des instruments d’évaluation (Bowen, Ware, Rose et Powers, 2007). Une brochure publiée en 2016 par l’OCDE a permis de mieux faire comprendre ce qui fait d’une école une organisation apprenante : il s’agit notamment de développer une culture commune qui repose sur le travail collaboratif, la confiance, et aussi, bien souvent, le recours aux technologies afin de répondre aux défis posés par un environnement en perpétuelle évolution.
En France l’adoption du concept est très récente. François Taddei et ses collègues (Taddei, Becchetti-Bizot, Houzel, 2017 ; Taddei, 2018) proposent de l’appliquer à l’échelle de la société dans son ensemble, plaidant pour la création d’un « service public de la société apprenante » destiné à permettre à tous d’intensifier la recherche, à faciliter l’accès à la formation, aux expériences et aux résultats, et à impliquer le plus grand nombre dans la conduite de projets innovants. Dans le contexte scolaire français, plusieurs projets destinés à transformer des écoles, des circonscriptions ou même des académies en « territoire apprenants » ont vu le jour au cours des dernières années (par exemple, à Dijon, Grenoble, Rouen et Paris). Ce séminaire cherche à mieux cerner les enjeux et les défis liés à la notion de « territoire apprenant » à partir de l'analyse d'expériences de terrains, en France et à l'étranger.
Le 2e samedi du mois de 9h à 12h.
10 Novembre 2018 - 08 Juin 2019
Séminaire EHESS (Paris)
« Une piste pour transformer les pratiques éducatives ? », séminaire coordonné par Pascale Haag (EHESS) et Amélia Legavre (CRI/Sciences Po).
Le concept d’« organisation apprenante » se définit comme « une organisation capable de créer, acquérir et transférer de la connaissance et de modifier son comportement pour refléter de nouvelles connaissances » (Garvin, 1993).
Alors que le réseau canadien Rescol a entamé une réflexion sur l’application de ce concept à l’environnement scolaire dès 1996, ce n’est qu’à partir de 2007 que des chercheurs se sont réellement attachés à en préciser les contours et à développer des instruments d’évaluation (Bowen, Ware, Rose et Powers, 2007). Une brochure publiée en 2016 par l’OCDE a permis de mieux faire comprendre ce qui fait d’une école une organisation apprenante : il s’agit notamment de développer une culture commune qui repose sur le travail collaboratif, la confiance, et aussi, bien souvent, le recours aux technologies afin de répondre aux défis posés par un environnement en perpétuelle évolution.
En France l’adoption du concept est très récente. François Taddei et ses collègues (Taddei, Becchetti-Bizot, Houzel, 2017 ; Taddei, 2018) proposent de l’appliquer à l’échelle de la société dans son ensemble, plaidant pour la création d’un « service public de la société apprenante » destiné à permettre à tous d’intensifier la recherche, à faciliter l’accès à la formation, aux expériences et aux résultats, et à impliquer le plus grand nombre dans la conduite de projets innovants. Dans le contexte scolaire français, plusieurs projets destinés à transformer des écoles, des circonscriptions ou même des académies en « territoire apprenants » ont vu le jour au cours des dernières années (par exemple, à Dijon, Grenoble, Rouen et Paris). Ce séminaire cherche à mieux cerner les enjeux et les défis liés à la notion de « territoire apprenant » à partir de l'analyse d'expériences de terrains, en France et à l'étranger.
Le 2e samedi du mois de 9h à 12h.
10 Novembre 2018 - 08 Juin 2019
Séminaire EHESS (Paris)
« Une piste pour transformer les pratiques éducatives ? », séminaire coordonné par Pascale Haag (EHESS) et Amélia Legavre (CRI/Sciences Po).
Le concept d’« organisation apprenante » se définit comme « une organisation capable de créer, acquérir et transférer de la connaissance et de modifier son comportement pour refléter de nouvelles connaissances » (Garvin, 1993).
Alors que le réseau canadien Rescol a entamé une réflexion sur l’application de ce concept à l’environnement scolaire dès 1996, ce n’est qu’à partir de 2007 que des chercheurs se sont réellement attachés à en préciser les contours et à développer des instruments d’évaluation (Bowen, Ware, Rose et Powers, 2007). Une brochure publiée en 2016 par l’OCDE a permis de mieux faire comprendre ce qui fait d’une école une organisation apprenante : il s’agit notamment de développer une culture commune qui repose sur le travail collaboratif, la confiance, et aussi, bien souvent, le recours aux technologies afin de répondre aux défis posés par un environnement en perpétuelle évolution.
En France l’adoption du concept est très récente. François Taddei et ses collègues (Taddei, Becchetti-Bizot, Houzel, 2017 ; Taddei, 2018) proposent de l’appliquer à l’échelle de la société dans son ensemble, plaidant pour la création d’un « service public de la société apprenante » destiné à permettre à tous d’intensifier la recherche, à faciliter l’accès à la formation, aux expériences et aux résultats, et à impliquer le plus grand nombre dans la conduite de projets innovants. Dans le contexte scolaire français, plusieurs projets destinés à transformer des écoles, des circonscriptions ou même des académies en « territoire apprenants » ont vu le jour au cours des dernières années (par exemple, à Dijon, Grenoble, Rouen et Paris). Ce séminaire cherche à mieux cerner les enjeux et les défis liés à la notion de « territoire apprenant » à partir de l'analyse d'expériences de terrains, en France et à l'étranger.
Le 2e samedi du mois de 9h à 12h.
« Une piste pour transformer les pratiques éducatives ? », séminaire coordonné par Pascale Haag (EHESS) et Amélia Legavre (CRI/Sciences Po).
Le concept d’« organisation apprenante » se définit comme « une organisation capable de créer, acquérir et transférer de la connaissance et de modifier son comportement pour refléter de nouvelles connaissances » (Garvin, 1993).
Alors que le réseau canadien Rescol a entamé une réflexion sur l’application de ce concept à l’environnement scolaire dès 1996, ce n’est qu’à partir de 2007 que des chercheurs se sont réellement attachés à en préciser les contours et à développer des instruments d’évaluation (Bowen, Ware, Rose et Powers, 2007). Une brochure publiée en 2016 par l’OCDE a permis de mieux faire comprendre ce qui fait d’une école une organisation apprenante : il s’agit notamment de développer une culture commune qui repose sur le travail collaboratif, la confiance, et aussi, bien souvent, le recours aux technologies afin de répondre aux défis posés par un environnement en perpétuelle évolution.
En France l’adoption du concept est très récente. François Taddei et ses collègues (Taddei, Becchetti-Bizot, Houzel, 2017 ; Taddei, 2018) proposent de l’appliquer à l’échelle de la société dans son ensemble, plaidant pour la création d’un « service public de la société apprenante » destiné à permettre à tous d’intensifier la recherche, à faciliter l’accès à la formation, aux expériences et aux résultats, et à impliquer le plus grand nombre dans la conduite de projets innovants. Dans le contexte scolaire français, plusieurs projets destinés à transformer des écoles, des circonscriptions ou même des académies en « territoire apprenants » ont vu le jour au cours des dernières années (par exemple, à Dijon, Grenoble, Rouen et Paris). Ce séminaire cherche à mieux cerner les enjeux et les défis liés à la notion de « territoire apprenant » à partir de l'analyse d'expériences de terrains, en France et à l'étranger.
Le 2e samedi du mois de 9h à 12h.
Gabriel Attal : aux lecteurs de la Revue EP&S...
A l'occasion du 400° numéro de la Revue EP&S, Gabriel Attal, ministre de l'Education nationale répond aux questions du comité éditorial.
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